Le conte du genévrier

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Le conte du genévrier

un conte des Frères Grimm

Il était une fois une famille normale… sauf la mère. Il y avait un père, une fille, et un fils et ils s’aimaient tous.  Mais la mère dans la famille n’aimait pas son fils.

La mère aimait son mari, le père. Elle aimait sa fille.  Mais son fils était adopté, et elle ne l’aimait pas. Constamment, elle l’insultait et maltraitait.  La mère préférait sa fille et lui donne des privilèges spéciaux.  La fille était inconfortable avec la maltraitent de son frère.

La fille et le fils s’aiment et ils jouaient ensemble. Un jour le fils et la fille jouait sous un arbre.  C’était un arbre de baies.  Il avait de fruit délicieux.  La fille et le fils mangeaient des baies de baies.

La mère était fâchée—pas avec la fille—mais avec le fils.

Avec la fille, la mère a parlé d’une voix calme : « Ma fille précieuse mange délicatement. »

Avec le fils, la mère a crié d’une voix terrible : « Tu manges comme un animale ! Tu as trop mangé ! Tu as pris un million de baies de baies ! »

La sœur a défendu son frère : « Non, c’était de ma faute. »

Mais la mère a insisté : « Non, ton frère est un mauvais garçon. Il a trop mangé.  Alors, le reste des baies sont pour Papa, moi et toi.  Pas pour ce garçon stupide ! »

La mère a pris tous les baies et les a placées dans un grand coffre.

 

Le lendemain, la mère voulait offrir un cadeau à sa fille précieuse. Avec une voix gentille, elle a dit :

–« Tu es une bonne fille. Voilà des baies »

— «  Merci Maman ! Mais c’est triste de manger ce fruit. »

–«  Triste ? Pourquoi ? »

–« Parce que mon frère ne peut pas manger avec moi. »

La mère était furieuse, mais elle a parlé avec une voix délicate :

— « Pas de problème, mon amour. J’offre des baies à ton frère. »

— « Ah oui ?  Merci beaucoup, Maman ! » A dit la fille surprise.

— « Oui, ma fille. Va à l’arbre.  Va chercher plus de baies.  Moi, j’offre le reste des baies à ton frère. » A dit la mère.  Mais en réalité, la mère avait un plan terrible.

La fille est quitte et le fils est entre dans la maison.

La mère a dit au fils:

–« Tu veux des baies ? Ils sont dans le coffre. »

Le fils était content. Il aimait des baies.  Il ne suspectait rien.  Il a placé sa tête dans le coffre.  La mère attendait le moment exact où sa tête était complètement dans le coffre. Puis… BOOM! Elle a fermé le coffre rapidement.

Elle a tranché la tête de son propre fils.

Elle a place un foulard autour de la gorge. Elle l’a placé dans une chaise.  Elle l’a posé comme s’il dormait. Mais il était mort.

À ce moment, la fille est retournée. Elle a secoué le corps de son frère.  Elle pensait qu’il dormait.

Mais soudain, la tête de son frère est roulée par terre. La fille paniquait et elle a dit « J’ai tué mon frère. » La mère a dit «  Oh non ! Tu as tué ton frère.  Il est nécessaire cacher le corps.  Il est nécessaire le placer dans un grand pot et le bouillonner.

La mère a placé le corps du fils dans un grand pot et elle l’a bouillonné. Elle l’a préparé comme s’il était un diner normal.

La fille était horrifiée. Elle a dit :

— « Maman, donnez-moi les os. Je prépare des funérailles. »

–« funérailles ? Pour ce garçon stupide ? »

–« Oui… c’est important. Il est mon frère.

–« Oui…je suppose. Mais ne dit rien à ton Papa ! » A dit la Mère.

La fille terrifiée acceptait. En silence, elle est allée à l’arbre.  Elle pensait a comment elle avait joué avec son frère sous cet arbre.  C’est un arbre spécial pour elle.

Elle a fait une petite cérémonie. Délicatement, elle a placé les os dans un foulard.  Elle a enterre les os de son frère.  « Adieu mon frère » elle a dit tristement.

 

 

Soudain, il est apparu un oiseau. L’oiseau quittait l’arbre et il s’est en volé.

La fille était contente. Elle savait que l’oiseau possédait l’âme de son frère.   Son âme était libre.

L’oiseau a volé dans les aires sous le village.

Il passait tout le village et il chantait:

Ma mère m’a tué

M’a placé dans un pot,

M’a bouillonné

M’a oublié.

Les habitants du village ont eu de la pitié pour l’oiseau. Ils ont offert des cadeaux à l’oiseau. Une personne généreuse a offert des chaussures à l’oiseau.

L’oiseau a attache les chaussures à une corde. Avec la corde, il a volé chez lui.

Il a laissé tomber les chaussures. La fille a vu les chaussures.  « C’est une signe: mon frère m’a pardonné !  Il m’a offert un cadeau.  Merci petit oiseau ! Merci mon frère. »

Une seconde fois, l’oiseau est retourné au village.  Dans tout le village il chantait:

Ma mère m’a tué

M’a placé dans un pot,

M’a bouillonné

M’a oublié.

Une seconde personne généreuse avait de la pitié pour lui.  Elle a offert un cadeau à l’oiseau: un chapeau.

L’oiseau a attaché le cadeau à une corde. Avec la corde, il a volé chez lui.

Il a laissé tomber le chapeau. La fille a vu le cadeau et elle était contente.  Elle a dit : « Mon frère aime mon père !  Il a offert un cadeau à notre père.  Merci mon frère. »

 

Une troisième fois, l’oiseau est retourné au village. Dans tout le village il chantait:

 

Ma mère m’a tué

M’a placé dans un pot,

M’a bouillonné

M’a oublié.

Une troisième personne généreuse avait de la pitié pour lui. Mais elle n’a pas offert un cadeau.  Il a offert un objet énorme : une meule.  C’était un rochier énorme !

L’oiseau a attaché le cadeau à 100 cordes longues. Miraculeusement, il a volé chez lui.  L’oiseau attendait la mère.  La mère arrivait.  A cet instant, il a laissé tomber la meule. La mère était morte.  Immédiatement, l’oiseau est transformé à sa forme originelle : un garçon.

Le père et la fille sortait de la maison. La fille pleurait de joie.  Son frère est retourné !  La petite famille était contente pour le reste de leurs vies.